Hôtel récemment rénové à moins qu'il ne soit tout neuf dans un ancien bâtiment industriel avec très belle salle à manger.
Il est en plein centre, dans un quartier piétonnier et proche des restaurants, des commerces et de l'opéra, donc très bien situé.
Nous disposions d'une chambre Deluxe au calme et dotée d'une belle hauteur de plafond avec du mobiliser design et neuf et un espace rangement très correct.
Néanmoins, pour un établissement 4 étoiles comme celui-ci et de bon standing, bien des choses sont à revoir voire à améliorer très nettement.
Ainsi, les échanges par mails ( en français) ne sont pas fluides et notre correspondant ne semblait pas dans un premier temps savoir nous indiquer le trajet en bus depuis la gare, pourtant archi simple.
Le personnel à la réception est aimable mais il n'y plus personne à 22h et personne pour le check out, un dimanche matin, ce qui nous a obligé de faire appel à un serveur du restaurant.
Je rappelle qu'on parle d'un hôtel avec des tarifs 4 étoiles et pas d'un gite ...
Nous avons été prévenus à notre arrivée que notre chambre était dotée d"une douche avec paroi transparente. Il vaut mieux l'intégrer en réservant, d'autant que le mini espace salle de bains n'est pas séparé de la chambre puisqu'il est dans la chambre. On se demande parfois à qui pensent les architectes actuels.
Ce style de chambre n'offre donc aucune intimité ce qui doit être su avant de réserver.
En outre, la douche inonde l'espace salle de bans, ce qui est désagréable.
Nous avions deux lits jumeaux bien petits pour deux adultes grands et avec un matelas pas assez ferme à nos yeux.
L'ascenseur fonctionne très mal, suite à un faux contact sans doute , ce qui nous a conduit à l'éviter et à monter et descendre nos bagages par l'escalier.
Si le petit déjeuner est riche et délicieux, il faut que le cuisinier apprenne à préparer des oeufs brouillés très vite, c'est élémentaire !
Mais le plus étonnant, c'est que la moitié des chambres, celles ne donnant pas sur la rue, donnent sur ... un mur, oui un mur, à moins d'un mètre. Nous n'avions jamais vu une chose pareille. Il n'y a donc ni vue ni lumière et ceci n'est pas compensé par un éclairage électrique suffisant.